3D pour l’archéologie : quelles interactions, pour quoi faire
Ronan Gaugne & Valérie Gouranton
Les techniques de production de données 3D, bien que de plus en plus utilisées par les archéologues, sont le plus souvent limitées à la production d’images 2D ou 3D. Au-delà des modes de visualisation de ces données, il convient de s’interroger sur leurs possibles interactions et usages. La réalité augmentée et la réalité virtuelle permettent d’envisager des interactions naturelles et/ou complexes avec les environnements numériques en 3D. Il s’agit d’interactions physiques, tangibles, ou encore haptiques...